S'agissant de l'accord sur l'itinérance mobile, quelles dispositions peuvent être prises au sujet des près de 300 000 Français travaillant à l'étranger et habitant dans les zones frontalières – et, au-delà, concernant les millions d'Européens vivant près de la frontière et allant tous les jours faire des courses ou voir de la famille à l'étranger –, qui sont les premiers à souffrir de tarifs élevés ? Ne peut-il y avoir un accord entre les opérateurs pour étendre leur portabilité à 30 ou 40 kilomètres de la frontière ?
Lors du Conseil du 12 juin, allez-vous discuter aussi du contenu du plan Juncker et des projets qui seront financés dans ce cadre ?