…mais aussi de faire respecter l’identité européenne lorsque les droits de l’homme sont à ce point atteints et que l’on assiste à un génocide religieux.
Ma deuxième question porte sur la Turquie. Cet État, qui réclamait à cor et à cri son entrée dans l’Europe, peut-il continuer à laisser ses frontières ouvertes, par où passent les armes et le pétrole ? Qui achète le pétrole, d’ailleurs ? C’est une vraie question. Est-ce que de temps en temps, la Commission européenne pourrait rappeler à la Turquie que l’on ne peut pas à la fois être européen et combattre l’idéal européen par ailleurs ?