Il s'agit avant tout d'un débat sémantique. La définition donnée dans la nouvelle rédaction est plus précise que la précédente puisqu'elle repose sur une addition de conditions : « des propos ou agissements à connotation sexuelle » imposés « de façon répétée » et qui « créent une situation intimidante, hostile ou offensante ». C'est le juge en dernière instance qui montrera la pertinence de cette définition.