Vous avez évoqué la filière hydrogène. Parmi les projets que vous soutenez, en est-il qui viennent du secteur automobile, touchant à de premières applications expérimentales, ou bien vous concentrez-vous, plus en amont, sur la question du stockage ?
Soutenez-vous des projets dans le domaine aérien ? Du fait de ses contraintes techniques, ce secteur peine à s'adapter à la transition énergétique, sinon en réduisant le poids des appareils ou en expérimentant de nouveaux matériaux.
Comment vos financements s'articulent-ils avec les crédits européens, que ce soit ceux du programme-cadre de recherche et développement – PCRD – ou ceux dévolus à l'Horizon 2020 ? Êtes-vous en contact avec Bruxelles ?