On compare souvent la diminution des crédits affectés à l'enseignement supérieur et à la recherche à l'augmentation du crédit d'impôt recherche – CIR –, qui bénéficie au secteur privé. Quelle relation établissez-vous entre l'évolution de ces dépenses budgétaires et fiscales ?
L'impératif de performance des universités françaises dans la compétition internationale rend nécessaire le mouvement de regroupement. Au regard de l'aménagement du territoire et des menaces ressenties dans le contexte de fusion des régions, peut-on concilier le regroupement avec le maintien d'un équilibre entre anciennes capitales régionales grâce à la spécialisation des sites ?