Pour ma part, j'apprécie vos propos sur l'absence de discontinuité dans le domaine des données. Tous les gens qui travaillent à l'anonymisation disent la même chose. En revanche, je n'ai pas bien compris les conséquences que vous en tirez d'un point de vue juridique. S'il n'y a pas de discontinuité, cela signifie que toutes les données entrent dans la même catégorie sur le plan juridique alors qu'elles ne présentent pas le même niveau de risque. À mon avis, il faudrait adopter une démarche guidée par l'analyse des risques : imposer à ceux qui collectent ou traitent des données des obligations proportionnées aux risques résiduels que peuvent présenter ces données.