Dans nos sept chapitres, nous créons assez peu de droit. Nos recommandations visent surtout à encourager des pratiques qu'il revient à chaque acteur de faire siennes. Il serait bien dommage qu'il ne le fasse pas.
Pour ce qui est de l'envie de changer le monde, j'aimerais qu'elle soit plus répandue chez les gens qui ont du pouvoir. Les grands groupes observent les tendances en se demandant comment s'y adapter, alors que des entrepreneurs de vingt-trois ans, dont la start-up a trois mois et demi, veulent changer le monde. À quoi sert le pouvoir si ce n'est pas pour changer le monde ?