Le mois dernier, un second décret est venu simplifier le label « fait maison ». Mais il est de moins en moins clair.
Manger sain et fait maison : tout le monde est pour. Mais, sur le terrain, cela semble beaucoup plus compliqué. Finalement, ce que demandent nos concitoyens ainsi que les touristes que nous accueillons, c'est de connaître la provenance des produits utilisés et qu'ils soient bons, et non qu'ils soient entièrement faits maison : à entendre les professionnels, la chose est pratiquement impossible, sauf peut-être pour les 5 % des restaurants français de très haute gamme.
Mme Marcel et moi-même avons présenté un rapport sur les signes d'identification de la qualité et de l'origine. Les touristes et les restaurateurs estiment que l'alimentation dans nos campagnes est d'une très grande qualité. C'est aussi du 100 % « fait maison ».