Le label « fait maison » constitue une grande avancée tant pour le consommateur que pour les professionnels. J'ai moi-même participé à une réunion de travail chez un professionnel qui était également maître-restaurateur, et qui a mis en avant ce label en insistant sur l'intérêt de la traçabilité – provenance, circuit court.
M. Chenet a invoqué le problème de faisabilité économique, mettant en avant un manque de moyens pour recruter des commis pour éplucher des légumes. Parlons chiffres : quelle est la majoration du prix de revient d'un plat fait maison par rapport à l'utilisation de produits surgelés ?
Lors de la publication du premier décret, de nombreux restaurateurs nous ont dit ne jamais en avoir entendu parler. Où en est-on aujourd'hui ? Comment est faite l'information en direction des professionnels ?