Je ne vais pas revenir sur les arguments de fond. Notre rapporteur, notre rapporteur pour avis en première lecture, notre collègue Estelle Grelier et Mme la ministre ont été extrêmement précis et clairs. Mais je suis choqué par la forme de déni que pratiquent nos collègues de l’opposition.
Le premier déni consiste à prétendre qu’il y aurait, de leur côté de l’hémicycle, des parlementaires qui connaissent parfaitement la vie des petites communes de la nation et, de ce côté-ci, des députés qui n’y connaissent rien. Faut-il rappeler, mes chers camarades,