On a le droit de ne pas être d’accord, mais on a aussi le droit de s’exprimer, y compris au banc du Gouvernement, d’autant que je ne prends pas trop souvent la parole. Je dis simplement que l’on constate un certain nombre de difficultés, en particulier après des PLH ou d’autres opérations de ce type, parce que l’on n’a pas analysé en amont les conséquences que cela aura en matière de politique sociale. C’est tout ! J’entends très bien que vous ne soyez pas d’accord, mais je pense que c’est une ouverture qui est intéressante, d’autant qu’elle est libre.