Il y a, en effet, encore beaucoup à faire avant d'arriver à une stratégie plus élaborée. Nous n'avançons cependant pas en terrain vierge, car nous comptons déjà parmi nos partenaires la fondation Carrefour, qui a financé certaines de nos bourses. D'autres travaux d'approche vers le secteur privé ont eu lieu, que ce soit auprès de Publicis, de Total ou d'Orange, qui est partenaire de l'IFADEM.
Il est vrai, toutefois, que si nous disposons d'un savoir-faire, il nous reste à faire savoir. Nous devons nous améliorer dans ce domaine. Notre nouvelle organisation devrait nous y aider. Mais le problème concerne toutes les institutions de la francophonie. Un partage d'expériences serait à développer.