Je vous remercie beaucoup, monsieur le recteur, de la concision et de la clarté de vos exposés. Puisque vous quitterez bientôt vos fonctions, votre liberté de parole n'en est que plus grande : disposez-vous de ce qu'il faut comme institution de la francophonie ? Y a-t-il encore des doublons ou un manque de coordination entre les instances existantes ? Il doit être possible d'améliorer encore la situation, même avec des moyens en baisse, grâce à une coopération accrue.