J'ai relevé dans le rapport du commissaire aux comptes et les travaux comptables émis par votre université que les engagements financiers de la France en faveur de votre établissement restaient très élevés par rapport à ceux des États tiers. Néanmoins, pourquoi l'Égypte, pays francophone, membre de l'OIF, ne participe-t-elle pas financièrement au fonctionnement de l'université ?
Votre établissement a-t-il signé une convention d'objectifs et de moyens, comme la plupart des institutions financées par l'État français ? Ne fait-il pas double emploi avec l'AUF ? En quoi s'en distingue-t-il ?
Je relève aussi que dans son tout dernier rapport, le commissaire aux comptes québécois chargé de certifier votre comptabilité a émis de nombreuses remarques – même si je ne vous interrogerai pas aujourd'hui à ce sujet dans la mesure où ce rapport date d'il y a quelques jours à peine…