Au Brésil, nous subissons la forte concurrence de l'espagnol. En ce qui concerne le chinois, je ne suis pas persuadé qu'il concurrence le français, l'espagnol ou l'anglais, car on imagine mal que cela devienne une langue de masse internationale, même si son apprentissage, qui demande par ailleurs un investissement considérable, a fortement progressé, notamment au sein des élites.