Nous avons rencontré la quasi-totalité des entreprises du CAC 40. Aucune d'entre elles ne souhaite s'engager à un niveau mondial, car elles considèrent que leurs antennes locales sont mieux placées pour répondre de manière pertinente aux demandes de partenariat. Chaque Alliance organise donc seule sa recherche de financements extérieurs, dans un contexte - je tiens à le préciser - de plus en plus tendu car tous les services culturels cherchent de l'argent et, en l'absence de concertation, les entreprises se voient parfois sollicitées à tort et à travers.