Madame la présidente, monsieur le ministre, chers collègues, de très nombreux orateurs ont souligné la situation extrêmement difficile dans laquelle se trouve notre pays, comme les autres pays européens. Je veux cependant réagir aux propos pessimistes, parfois même catastrophistes et déclinistes, de plusieurs orateurs de l'opposition, propos qui me semblent d'ailleurs relever plus d'une forme de déprime politique que de la stricte observation de la réalité budgétaire de notre pays.