Je comprends la logique. Néanmoins, la suppression des cinquième et sixième alinéas de l'article L. 211-2-1 conduirait paradoxalement à l'inverse de l'effet recherché. Concrètement, le conjoint resterait bloqué dans son pays d'origine et serait contraint d'obtenir un visa de tourisme, ce qui, dans certains pays, est parfois encore plus difficile. Mieux vaudrait retirer l'amendement.