Faisons en sorte de trouver des débats qui portent davantage d’espoirs et d’idées nouvelles que celui, par exemple, que nous avons eu cet après-midi à propos de l’immense question grecque – débat qui, selon moi, n’était pas à la hauteur de l’Assemblée nationale. Je ne précise pas qu’il s’agit de l’Assemblée nationale française, car chacun le sait.
Trouvons donc d’autres moyens. C’est difficile, je le sais.