Je prendrai la peine de me prononcer sur ces deux amendements qui ont été présentés par des parlementaires qui connaissent bien ces sujets.
Vous connaissez parfaitement l’histoire, messieurs, vous savez donc qu’il y a une dizaine d’années, par crainte du mot « métiers », le patronat a refusé cette notion, craignant qu’elle ne conduise à recréer des régimes spéciaux. Qu’a fait alors le patronat ? Il a créé une fiche individuelle de pénibilité qui est totalement ingérable et inapplicable.