La priorité à l’éducation est maintenue : à la création de postes et à la réforme de l’enseignement secondaire, nous ajouterons, pour un montant de 350 millions d’euros, le changement des manuels scolaires.
Comme la croissance ne crée pas suffisamment d’emplois – notre autre priorité –, nous maintenons la programmation du même volume d’emplois aidés qu’en 2014 et nous créons 60 000 entrées en formation supplémentaires. Nous mettons en place des mesures en faveur de l’embauche dans les TPE et PME, parce qu’il faut appuyer les premiers résultats positifs visibles, c’est-à-dire le rétablissement des taux de marge et la relance de l’investissement.
Nous poursuivons la mise en valeur du pacte de responsabilité et de solidarité et le CICE pour soutenir principalement nos PME et TPE, lesquelles représentent 98 % des entreprises.