En fin de compte, les Australiens ne jouiraient pas de conditions économiques aussi attrayantes sans les réformes énergiques et le travail de leurs gouvernements successifs – travail que nous n’avons précisément pas su faire.
Se comparer aux pays étrangers n’est pas tabou : nous devons le faire pour en tirer les conséquences.
Dans cet hémicycle, on cite souvent l’approche de pays comme les États-Unis, l’Angleterre ou l’Allemagne. Je tenais à prendre l’exemple d’un pays un peu plus lointain, qui montre que, malgré la crise économique qui le frappe, la croissance continue. Je pense, monsieur le secrétaire d’État, que c’est précisément cette volonté de réforme qui manque aujourd’hui à notre pays.