Mesdames les Présidentes, l'un des objectifs de cette réunion était d'examiner concrètement les raisons techniques pour lesquelles certaines dispositions du traité de Lisbonne ne sont pas mises en oeuvre. Nous nous sommes un peu éloignés du sujet. Je souhaiterais donc que, lors d'une prochaine réunion, nous puissions revenir sur ces problèmes techniques. Je serais curieux de savoir qui, parmi les personnes ici présentes, a lu le protocole sur la coopération structurée permanente – je crains que nous ne soyons pas nombreux… Or l'important, c'est ce type de dispositions concrètes que l'on peut faire avancer, modestement. J'ajoute qu'accepter de fournir un groupement tactique, c'est-à-dire 1 500 hommes, dans le cadre de la coopération structurée permanente, n'est pas du tout mettre sous sujétion les forces nationales, notamment françaises. Nos préoccupations sont en train de s'éloigner du réel ; voilà qui est grave.