Une des priorités de la réforme est la réduction de la dette, notamment la réduction à zéro de l'impasse actuelle de 1,5 milliard d'euros.
À quel niveau exact se situe la dette du groupe, à savoir des deux entités ? Alors que vous subissez parfois des injonctions contradictoires de votre tutelle, comment est-il possible de la réduire dans le cadre d'une confirmation des programmes LGV, qui sont en crise de modèle économique ? Cet héritage ancien alimente mécaniquement une impasse.
Pouvez-vous, par ailleurs, nous dresser un état des lieux des négociations syndicales sur la nouvelle convention collective – c'est un enjeu essentiel pour l'avenir de notre système ferroviaire ? Pensez-vous qu'il sera possible de signer un accord avant la date butoir de juillet 2016 ? Après juillet 2016, le groupe entrera en effet dans un autre monde.