…c’est très difficile. Ce qui nous manque, c’est peut-être une vision partagée de l’avenir. J’estime que des efforts ont été accomplis ; ils sont courageux, ils sont difficiles.
En 2004, vous aviez changé votre fusil d’épaule entre deux élections – je l’ai dit tout à l’heure à la tribune, mais personne ne m’écoutait. Du moins n’avons-nous pas changé de position entre avant et après les élections départementales !