Si, puisqu'elle précise qu'il faut réaliser des recherches complémentaires sur certains aspects, ce qui valide l'option d'une phase pilote que nous appelons à mettre en oeuvre le plus rapidement possible, puisque cette phase permettrait, dans des conditions limitées par rapport à l'exploitation industrielle, de disposer d'un retour d'expérience et de pouvoir prendre une décision informée par la suite. Il s'agit de continuer le processus en cours, dont il serait difficile de dire qu'il a été mené de façon précipitée alors qu'il a débuté en 1991. Que certains souhaitent, par tous les moyens, empêcher d'avancer sur une solution définitive, cela peut se comprendre. En empêchant cette solution d'être mise en oeuvre, on décrédibilise globalement la filière nucléaire.