M. Caignart dit que les banques voient la BPI d'un très bon oeil. Nous en sommes ravis. J'espère que, dans un an ou deux, il pourra dire aussi que les entreprises voient la BPI d'un très bon oeil, car c'est l'objectif.
Je conviens qu'il faut du temps pour former les collaborateurs de l'AFD, et c'est bien pour cela que nous disions il y a deux ans qu'il ne fallait pas organiser le travail de cette manière. Le jour où ils seront formés, nous en serons ravis. Sachez que les portes des chambres de commerce, de leurs clubs d'entreprises, de tous les groupes d'entrepreneurs leur sont ouvertes, quand ils accepteront de venir porter le message.
Enfin, si vous pouviez éviter de parler des problèmes de SIREN informatique ! Les entreprises ne supportent plus ces questions techniques. Une entreprise, en outre-mer, attend déjà deux mois son certificat de naissance, et la situation ne s'améliore pas, contrairement aux annonces de la ministre de la Justice. Sur ces problèmes techniques, il faut trouver des solutions. Nous en proposons une pour le registre du commerce et des sociétés, et nous espérons être entendus. Il serait dommage que ces aspects techniques brouillent le message et provoquent de l'agacement.