L'OIF bénéficie d'un réseau de 80 États et gouvernements impliqués dans la conception de sa programmation. Ils ont donc une connaissance précise des programmes que nous proposons. L'Organisation est cependant consciente des efforts supplémentaires qu'elle doit fournir en termes de communication, et continue ainsi de développer et préciser leurs contenus. De plus, elle a entrepris des démarches conséquentes en vue de s'ouvrir à de nouvelles opportunités de coopération bilatérale et multilatérale, y compris auprès du secteur privé - dont on constate, d'ailleurs, un intérêt croissant envers nos formations professionnelles. Ces acteurs privés souffrent de besoins en termes de développement, mais également en termes de ressources humaines. Si l'OIF les aide de ce point de vue, il devient possible pour eux d'engager de nouveaux investissements. Je laisse la parole à M. Ouane, davantage au fait de ces enjeux d'éducation.