À ce sujet, les organisations relatives à la francophonie que nous avons auditionnées ont insisté sur leurs principes de non-ingérence dans la gouvernance institutionnelle de leurs membres. Comment l'OIF se situe par rapport aux engagements de ses États-membres, qui peuvent être appréciés de manière différente par les acteurs de la communauté francophone ? Il a notamment été constaté dans l'espace francophone des positions très affirmées, et d'autres divergentes, à propos, par exemple, de l'actualité Burundaise. Ainsi, comment l'OIF arrive-t-elle à s'ingérer dans les choix de ses États membres, et jusqu'où se considère-t-elle légitime à le faire ?