Avez-vous le sentiment qu'aujourd'hui, les responsables politiques, économiques ou journalistiques manifestent encore un attrait réel pour la langue française ? J'ai notamment pu observer qu'au Sénégal, presque un parlementaire sur deux ne maîtrise pas le français, contrairement à la situation il y a une dizaine d'années. La langue française n'est-elle pas seulement un prétexte pour bénéficier de la position internationale de votre organisation ?