Je respecte les convictions des uns et les autres et me garderai donc de répondre sur le fond au sujet de celles qui viennent d'être exprimées. Cela dit, que pouvions-nous faire ? Aurions-nous dû laisser le peuple grec condamné à ses divisions et à ses violences, sous prétexte qu'il n'a connu que cela par le passé ? Il est pourtant des États à l'est de l'Europe qui, après avoir connu la violence, ont su construire en dix ans un État, une administration, une économie et une société.