Monsieur Cherki, vous poursuivez sur la même logique, je continue donc avec la mienne. Le seuil de 1,5 SMIC correspond à un minimum pour un master – nous pouvons nous accorder sur ce point. L’existence d’une rémunération conforme à ce niveau atteint par l’étudiant étranger découle de son projet professionnel. Cette condition est une mesure de régulation importante, car il convient de s’assurer que l’étudiant n’occupe pas un emploi sous-qualifié. C’est ma contribution à notre vision combative du salariat.