Cette discussion est surréaliste. Il est on ne peut plus logique que, sur un texte de cette importance, deux majorités parlementaires différentes ne trouvent pas d'accord ! Par ailleurs, nous avons débuté l'examen de ce projet de loi en avril, pour l'achever en juillet ; ce n'est tout de même pas si long. Enfin, un rappel juridique : c'est la Constitution, et non notre bon plaisir, qui impose que nous repartions d'un texte, en l'occurrence le dernier voté par l'Assemblée.