La détresse des agriculteurs ne doit pas être exploitée à des fins politiciennes. Je comprends, monsieur Jacob, que vous n’ayez pas envie que l’on revienne sur le passé, mais, vous allez le souffrir, on peut y revenir. La loi de modernisation de l’économie, que vous avez défendue aveuglément, nous en payons les conséquences aujourd’hui. La fin des quotas laitiers, que vous avez actée en 2008, nous en payons les conséquences aujourd’hui.