mais les agriculteurs veulent une réelle garantie des prix, une amélioration de la contractualisation au sein des filières, laquelle doit devenir saine et équilibrée, une révision des normes et des contraintes imposées ces dernières années, qu’un certain nombre de nos partenaires européens n’ont pas, eux, à supporter et qui freinent la compétitivité de nos exploitations.
Monsieur le ministre, seules des solutions pérennes permettront à nos agriculteurs, à nos éleveurs, de vivre de leur métier, de nourrir nos concitoyens en produits étiquetés français et de maintenir la vitalité dans nos territoires ruraux.