Nous vous remercions de ce « coup de gueule ». Le Parlement a sans doute le devoir de prendre l'initiative des quelques mesures simples qui s'imposent. Vous parliez de fournir l'interprète à la descente de l'avion ; encore faut-il pouvoir garantir sa loyauté.
Je donne maintenant la parole à M. de Galzain, qui vient de nous rejoindre, afin qu'il nous explique pourquoi il est allé frapper à la porte de l'ADIT.