Il ne s'agit pas simplement d'opinion mais de violation de principes fondamentaux du droit international. Si l'Ukraine déclare un jour être d'accord avec l'annexion de la Crimée par la Russie, ce sera autre chose. Mais il n'y a pas de précédent en Europe, depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, y compris avec le Kosovo, d'annexion unilatérale d'un morceau d'un pays souverain par un autre…