Sans doute, mais je vous renvoie aux 200 millions de dons dont je dispose pour intervenir auprès de seize pays pauvres prioritaires et quatre ou cinq pays en crise et effectuer l'expertise de toute l'Afrique. J'ai fait partie du récent voyage présidentiel en Angola, un pays à revenu intermédiaire de la tranche supérieure, qui pourrait consacrer une part de sa dépense publique à ce type d'investissement, en bénéficiant de notre accompagnement. Il existe une demande angolaise et nous devrions prochainement pouvoir travailler avec ce pays en lui accordant des prêts avec un niveau réduit de bonification, compte tenu de son niveau de développement – conformément à la logique des partenariats différenciés, qui veut que l'effort de solidarité soit plus important pour les pays les plus pauvres.