En écho à ce qu'a indiqué M. le sénateur Adnot, nous sommes, en Pays de la Loire, dans un paysage assez complexe sur le plan de l'accompagnement public et du développement économique, puisqu'il y a les consulaires, qui sont extrêmement présents, mais aussi un certain nombre de comités d'expansion et d'agences de développement. C'est tout un écosystème qui nécessite probablement une structuration et une réflexion, s'agissant en particulier de ce que l'on appelle le réseau des développeurs économiques. Cela fait partie des sujets sur lesquels nous travaillons, à l'aune, notamment, de ce qui se profile dans le cadre de la loi NOTRe.
J'en viens au coeur du sujet, c'est-à-dire à la force du partenariat qui lie la région à la CCIR, d'une part, et à l'ensemble des consulaires, d'autre part. Il est très important d'insister sur cet aspect. L'accord dont il était question à l'instant vaut avec la CCI, mais aussi avec l'agriculture et l'artisanat. C'est aussi une marque ligérienne…
Aujourd'hui, la stratégie économique s'écrit au niveau régional dans le cadre des SRDE. Et l'on s'oriente à nouveau, avec la loi NOTRe, vers des schémas de portée régionale. De ce point de vue, notre région souhaite maintenir, développer et renforcer le partenariat avec la CCIR, sans pour autant négliger tout ce qui fait la force de la proximité.
La région a développé un certain nombre d'outils au plus près des territoires et des entreprises des territoires. Outre le fait que l'on écrit la stratégie au niveau régional, c'est aussi l'une des composantes sur lesquelles nous souhaitons être extrêmement forts, présents, en lien avec les consulaires.