C’est la dure réalité des faits.
Non seulement il faudrait du monde, ne surtout pas être seuls, mais imaginez les conséquences politiques, idéologiques, d’une intervention au sol – M. le Premier ministre évoquait l’ « esprit de croisade » tout à l’heure –, sans parler de l’impossibilité pour les forces syriennes libres, la coalition nationale, de mobiliser les forces autour d’elle pour préparer une alternative à Bachar al-Assad. Ce ne serait pas opérant du tout.