Ma question s’adresse à M. le Premier ministre. Le 31 août dernier, mon département, le Tarn-et-Garonne, a connu une tempête sans précédent. Cette tempête a détruit plusieurs maisons, en l’espace d’une demi-heure ; elle a sévèrement endommagé de très nombreuses toitures ; elle a privé un tiers des habitants d’électricité ; elle a mis à terre des milliers d’arbres.
Si les dégâts sur les maisons sont normalement pris en charge par les assurances, j’ai sollicité l’État, avec l’ensemble des élus, pour que soit reconnu l’état de catastrophe naturelle afin d’assurer la meilleure couverture possible. Mais si les dégâts sur les bâtiments devraient à moyen terme trouver un dédommagement, il n’en est pas de même pour l’arboriculture.
Monsieur le Premier ministre, vendredi dernier, vous êtes venu constater vous-même ces dégâts sur les vergers…