J’en donnera deux exemples précis : le premier a trait à nos politiques d’asile, qui sont aujourd’hui trop disparates d’un pays à l’autre. Les filières d’immigration clandestine en profitent.
Second exemple : nos frontières externes doivent être tenues, et tenues collectivement.
Ce n’est pas le cas aujourd’hui comme depuis de nombreuses années : la situation de la Grèce le montre chaque jour, tout comme la décision de rétablir temporairement les contrôles aux frontières prise dimanche par l’Allemagne puis par d’autres pays.
Je le répète, nous n’hésiterons pas pas à prendre ce type de décision.