Chacun doit prendre sa part de responsabilité. Or plusieurs pays refusent cependant aujourd’hui de jouer le jeu : c’est –je le dis à la tribune de l’Assemblée nationale – inacceptable. Ces pays oublient en effet leur propre histoire, ainsi que ces hommes et ces femmes que nous avons accueillis en France lorsqu’ils fuyaient la dictature et le persécution communistes.