Nous n'avons pas rencontré en Espagne de travailleur social pour évoquer la question de la prostitution. Il semble que les prostituées qui travaillent en club soient considérées comme des personnes libres, qu'il n'est donc pas nécessaire d'interroger. Le fait qu'elles n'existent ni socialement ni fiscalement et ne soient pas citoyennes réduit encore leur identité et amène les jeunes à les considérer comme des étrangères, sans papiers et sans droits.