Depuis le début de l’année, les demandes d’asiles sont étales.
Il faut avoir l’honnêteté de reconnaître que, dans les semaines et les mois qui viennent – le Premier ministre l’a dit dans son intervention – notre système de l’asile sera mis sous tension, la France ayant souhaité, sans discuter et avec fierté, prendre sa pleine et entière part dans le dispositif de relocalisation et de réinstallation proposé par la Commission européenne et, ce, pour une raison très simple : elle a contribué à son élaboration.
Nous accueillerons donc 30 000 migrants pendant les deux prochaines années…