Et je veux, sur ce sujet aussi, vous donner des chiffres extrêmement précis : nous accordons chaque année le statut de réfugié à 11 000 personnes, dont 3 000 ne sont pas nécessairement persécutées dans leur pays. Elles bénéficient néanmoins en France de la protection subsidiaire, qu’elles se voient accorder par le Gouvernement français, en raison de ce qu’est l’état du droit.
Je voudrais vous remercier de faire cette proposition, car il vaut mieux faire une proposition qui existe, plutôt qu’une proposition impossible à mettre en oeuvre.