Or le Président de la République et le Gouvernement font preuve de cohérence en matière d’accueil des réfugiés et de maîtrise de la situation.
Madame Pécresse, je peux me retrouver dans une grande partie des propos que vous avez tenus. Toutefois, est-ce parce qu’il y a des élections au mois de décembre, est-ce parce que vous êtes dans l’opposition, que vous vous sentez obligée de fustiger notre politique migratoire ? Vos arguments ne tiennent pas devant les chiffres que le ministre de l’intérieur a rappelés à l’instant.