Elles versent environ 70 euros par jour au tenancier, mais les sommes qu'elles gagnent sont d'abord versées sur le compte de leur patron, qui leur reverse ce qu'elles ont gagné – non sans avoir soustrait, le cas échéant, des pénalités. L'électricité leur coûte 4 euros par jour. Dans ces conditions, où se situe la frontière entre prostitution libre et prostitution sous contrainte ?