Monsieur le président, monsieur le ministre, madame la présidente de la commission des affaires étrangères, monsieur le rapporteur, chers collègues, nous devons saluer l’attitude de la France, qui a pris une décision juste politiquement en ne livrant pas les Mistral. Elle a montré ainsi au monde entier que sa diplomatie était au service de la paix dans le monde, une valeur qui passe avant toute considération économique. Je m’en réjouis.