Entre octobre et septembre de cette année, nous avons mis en cash quelque 140 millions, mais cela va avec une valeur de construction.
Nous faisons très attention, à la fois dans les discussions avec les futurs clients et l'État français, à bien distinguer ce qui ressort du sinistre, à savoir tous les coûts passés avant le 5 août 2015, plus l'entretien, le démontage et la remise à niveau, pour lesquels nous avons envoyé deux devis à la COFACE, l'un pour le démontage et l'autre pour le maintien en état des navires, les assurances, la prolongation des garanties des fournisseurs, etc., jusqu'à une date potentielle de livraison.